La médiation familiale

et le divorce amiable

La médiation familiale et le divorce amiable

Vous êtes mariés et vous souhaitez divorcer à l’amiable ? La médiation familiale va vous accompagner pour organiser les modalités de votre séparation sur le plan conjugal, patrimonial et parental.

Forte de ma double-casquette, avocat et médiateur familial, nos échanges organisés et constructifs vous permettront d’aboutir à un divorce par consentement mutuel (sans juge).

NB : possibilité d’entretiens à distance par Skype pour les médiations avec distance géographique.

Par qui ?

Je suis médiatrice familiale diplômé d’Etat (D.E) et avocate : je souhaite privilégier des accords sereins choisis en conscience (en sachant ce pour quoi on s’engage et ce à quoi on renonce avec discernement) et permettant un « consensus gagnant ».

Je suis également formatrice en médiation familiale et membre du jury pour les nouveaux médiateurs familiaux qui passent le diplôme d’Etat.

Je suis aussi psychopraticienne en accompagnement individuel de communication non violente et de la médiation des parts de soi (Internal Family System).

Je précise que je suis de formation avocate, dans le domaine du droit de la famille et inscrite au Barreau de l’ordre des avocats de Paris.

Je suis également reconnue par l’ordre des Avocats comme avocat médiateur spécialisé en mode amiable de règlement des conflits.

En tant que médiatrice familiale, je favorise la résolution amiable des conflits en offrant un espace de parole sécurisé, bienveillant, où chacune des parties sera reconnue et comprise dans ce qui est important pour elle tout en ayant la possibilité d’appréhender le vécu de l’autre partie avec laquelle il y a un désaccord.

Un apaisement du conflit et des accords choisis de manière constructive (et non subis) pourront émerger grâce à l’espace de médiation familiale.

A quel moment ?

  • Avant, pendant ou après une séparation
  • Avant, pendant ou après une procédure judiciaire
    • Qu’il s’agisse de la saisine du juge aux affaires, du juge des  enfants, ou du juge pénal de la famille
    • Qu’il s’agisse d’une procédure de divorce, de garde des enfants, de résidence alternée, de droit de visité restreint, de pension alimentaire, d’abandon de famille, de droit de visite des grands-parents, de succession, etc
    • Qu’il s’agisse d’une procédure en première instance, en appel ou en Cour de cassation
  • Par choix responsable :
  • En cas de conflit de couple (couple uni ou couple séparé)
  • Pour une parentalité bienveillante et positive
  • En cas de mésentente familiale (parents / enfants / grands-parents enfants, famille recomposée, adoption, succession, etc)
  • Pour divorcer ou se séparer de manière amiable et respectueuse
  • Pour résoudre les conflits après le divorce ou la séparation

La médiation familiale va vous permettre :

    • D’être acteur de votre devenir en faisant des choix en conscience
    • D’être dans une relation de couple bienveillante, soutenante
    • D’être dans une relation parentale apaisée, sereine, respectueuse
    • De vous séparer avec respect
    • D’expérimenter des solutions avant un engagement ferme
    • De choisir vos solutions (et non les subir) pour un quotidien facilité
    • De passer de l’affrontement à la solidarité et à la compréhension
    • Sortir de l’opposition du « ou » et remettre du « et »

Les règles éthiques et déontologiques de la médiation familiale

La libre adhésion :

S’engager en médiation familiale est un choix libre, responsable pour être acteur de la résolution de son conflit dans un espace de parole privilégiant l’amiable.

La confidentialité :

La confidentialité signifie que ce qui se passe, ce qui se dit, ce qui se raconte dans l’espace de médiation familiale demeure confidentiel (*sauf accord de médiation familiale accepté par chacune des personnes).

La confidentialité garantit une parole libre sans que vos propos puissent se retourner en votre défaveur ou vous préjudicier.

La confidentialité garantit mon impartialité : je n’ai pas de compte à rendre aux tiers (avocats, juges, tiers) sous réserve lorsque la médiation est ordonnée d’indiquer quand la médiation commence et se termine.

La neutralité :

La neutralité du médiateur familial permet de favoriser la confiance et votre sécurité, étant précisé que la solution à advenir sera la vôtre et non celle que je pourrai imaginer pour vous.

En tant que médiateur familial, je favorise l’émergence des solutions amiables sans connaitre ce qui va advenir par avance (et vous non plus puisque votre regard sur la situation et votre positionnement devrait évoluer).

L’impartialité :

L’impartialité favorise la confiance dans l’espace et le processus de médiation familiale pour votre sécurité d’expression.

Je suis au soutien de chacune des parties sans prendre parti ni pour l’un ni pour l’autre. Je ne suis pas un juge, ni un arbitre, ni un avocat, ni un conseiller. Il ne s’agit pas pour moi en tant que médiateur familial, de dire qui à tort, ou qui a raison, mais de comprendre ce qui est important pour chacun de vous et de favoriser une solution acceptable pour chacune des parties.

Pour rendre le message « audible », en tant que médiateur familial, je vais traduire les dires de chacun de vous de manière à ce que le message ne soit plus teinté par exemples de jugements de valeur, de généralisations, de reproches, de culpabilisations, de suppositions, d’interprétations sur les intentions de l’autre, car cela ne ferait qu’accentuer l’opposition.

En tant que médiateur familial, je vais faciliter l’expression à partir de la personne à partir d’elle-même plutôt que ce qu’elle s’imagine être la vérité sur l’autre, ce qui ne peut être que source de malentendus.

En tant que médiateur familial, je vais clarifier ce qui se passe, ce qui se vit pour chacune des personnes, nommer les besoins avec bienveillance, élargir les visions de chacun par une écoute et une compréhension nouvelle de la situation.

Le cadre de la médiation familiale

  • Au préalable, la médiation familiale commence par un entretien individuel de chacune des personnes : entretien individuel de médiation confidentiel d’une durée d’1h / 1h30
  • Des séances communes s’ensuivent d’une durée d’1h30 /2 heures
  • Des possibilités d’entretiens individuels entre les séances communes sont parfois souhaitables

Le processus de médiation familiale s’adapte à votre situation et la durée de la médiation correspond à du sur-mesure en fonction de vos besoins (en moyenne 1 à 3 mois, voire 6 mois).

La médiation familiale a un coût : par personne / par séance.

NB : possibilité d’entretiens à distance par Skype pour les médiations avec distance géographique.

Citation du jour

"Gagner seul ou au détriment de quelqu'un équivaut à perdre."

CNV

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Par qui ?

Je suis médiatrice familiale diplômé d’Etat (D.E) et avocate : je souhaite privilégier des accords sereins choisis en conscience (en sachant ce pour quoi on s’engage et ce à quoi on renonce avec discernement) et permettant un « consensus gagnant ».

Je suis également formatrice en médiation familiale et membre du jury pour les nouveaux médiateurs familiaux qui passent le diplôme d’Etat.

Je suis aussi psychopraticienne en accompagnement individuel de communication non violente et de la médiation des parts de soi (Internal Family System).

Je précise que je suis de formation avocate, dans le domaine du droit de la famille et inscrite au Barreau de l’ordre des avocats de Paris.

Je suis également reconnue par l’ordre des Avocats comme avocat médiateur spécialisé en mode amiable de règlement des conflits.

En tant que médiatrice familiale, je favorise la résolution amiable des conflits en offrant un espace de parole sécurisé, bienveillant, où chacune des parties sera reconnue et comprise dans ce qui est important pour elle tout en ayant la possibilité d’appréhender le vécu de l’autre partie avec laquelle il y a un désaccord.

Un apaisement du conflit et des accords choisis de manière constructive (et non subis) pourront émerger grâce à l’espace de médiation familiale.

A quel moment ?

  • Avant, pendant ou après une séparation
  • Avant, pendant ou après une procédure judiciaire
    • Qu’il s’agisse de la saisine du juge aux affaires, du juge des  enfants, ou du juge pénal de la famille
    • Qu’il s’agisse d’une procédure de divorce, de garde des enfants, de résidence alternée, de droit de visité restreint, de pension alimentaire, d’abandon de famille, de droit de visite des grands-parents, de succession, etc
    • Qu’il s’agisse d’une procédure en première instance, en appel ou en Cour de cassation
  • Par choix responsable :
  • En cas de conflit de couple (couple uni ou couple séparé)
  • Pour une parentalité bienveillante et positive
  • En cas de mésentente familiale (parents / enfants / grands-parents enfants, famille recomposée, adoption, succession, etc)
  • Pour divorcer ou se séparer de manière amiable et respectueuse
  • Pour résoudre les conflits après le divorce ou la séparation

La médiation familiale va vous permettre :

    • D’être acteur de votre devenir en faisant des choix en conscience
    • D’être dans une relation de couple bienveillante, soutenante
    • D’être dans une relation parentale apaisée, sereine, respectueuse
    • De vous séparer avec respect
    • D’expérimenter des solutions avant un engagement ferme
    • De choisir vos solutions (et non les subir) pour un quotidien facilité
    • De passer de l’affrontement à la solidarité et à la compréhension
    • Sortir de l’opposition du « ou » et remettre du « et »

Les règles éthiques et déontologiques de la médiation familiale

La libre adhésion :

S’engager en médiation familiale est un choix libre, responsable pour être acteur de la résolution de son conflit dans un espace de parole privilégiant l’amiable.

La confidentialité :

La confidentialité signifie que ce qui se passe, ce qui se dit, ce qui se raconte dans l’espace de médiation familiale demeure confidentiel (*sauf accord de médiation familiale accepté par chacune des personnes).

La confidentialité garantit une parole libre sans que vos propos puissent se retourner en votre défaveur ou vous préjudicier.

La confidentialité garantit mon impartialité : je n’ai pas de compte à rendre aux tiers (avocats, juges, tiers) sous réserve lorsque la médiation est ordonnée d’indiquer quand la médiation commence et se termine.

La neutralité :

La neutralité du médiateur familial permet de favoriser la confiance et votre sécurité, étant précisé que la solution à advenir sera la vôtre et non celle que je pourrai imaginer pour vous.

En tant que médiateur familial, je favorise l’émergence des solutions amiables sans connaitre ce qui va advenir par avance (et vous non plus puisque votre regard sur la situation et votre positionnement devrait évoluer).

L’impartialité :

L’impartialité favorise la confiance dans l’espace et le processus de médiation familiale pour votre sécurité d’expression.

Je suis au soutien de chacune des parties sans prendre parti ni pour l’un ni pour l’autre. Je ne suis pas un juge, ni un arbitre, ni un avocat, ni un conseiller. Il ne s’agit pas pour moi en tant que médiateur familial, de dire qui à tort, ou qui a raison, mais de comprendre ce qui est important pour chacun de vous et de favoriser une solution acceptable pour chacune des parties.

Pour rendre le message « audible », en tant que médiateur familial, je vais traduire les dires de chacun de vous de manière à ce que le message ne soit plus teinté par exemples de jugements de valeur, de généralisations, de reproches, de culpabilisations, de suppositions, d’interprétations sur les intentions de l’autre, car cela ne ferait qu’accentuer l’opposition.

En tant que médiateur familial, je vais faciliter l’expression à partir de la personne à partir d’elle-même plutôt que ce qu’elle s’imagine être la vérité sur l’autre, ce qui ne peut être que source de malentendus.

En tant que médiateur familial, je vais clarifier ce qui se passe, ce qui se vit pour chacune des personnes, nommer les besoins avec bienveillance, élargir les visions de chacun par une écoute et une compréhension nouvelle de la situation.

Le cadre de la médiation familiale

  • Au préalable, la médiation familiale commence par un entretien individuel de chacune des personnes : entretien individuel de médiation confidentiel d’une durée d’1h / 1h30
  • Des séances communes s’ensuivent d’une durée d’1h30 /2 heures
  • Des possibilités d’entretiens individuels entre les séances communes sont parfois souhaitables

Le processus de médiation familiale s’adapte à votre situation et la durée de la médiation correspond à du sur-mesure en fonction de vos besoins (en moyenne 1 à 3 mois, voire 6 mois).

La médiation familiale a un coût : par personne / par séance.

NB : possibilité d’entretiens à distance par Skype pour les médiations avec distance géographique.

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CNV

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